Vers un bâtiment-générateur de communs | Hacia un edificio-generador de comunes

2019 | Marne-la-vallée School of Architecture | February | 10-days workshop |Plan Común | Coordination : Giovanni Piovene | Tutors : Plan Común (Kim Courrèges, Felipe De Ferrari, Sacha Discors) | Team: Coordination General : Claire Vasselin, Jeanne Courbois, Romane Lebidan, Isidore Casey, Ophelie Bigot, Christine Pollien. Dispositifs collectifs : Axel Eugene, Zé Ricardo Almeida Vieira, Florian Brehin, Camille Colomb, Asmae El Baghdadi, Laureen Electon, Claire Fachetti, Estelle Frey, Elise Geoffroy, Camille Guineste, Maxime Girandier, Bastien Goudier, Nolwenn Guédeu, Léna Guénau, Elise Guilbert, Maiwenn Guillouët, Marine Hollner, Théo Kermarrec, Pierre Kraft, Agathe Luquet, Emelyne Mathilde, Stella Monestié-Andreani, Eva Ravier, Julien Rebeck, Gwennaïg Rougetet, Sofia Rougui, Amara Sendouk, Margot Sustar,  Doriana Teixeira, Cynthia Treport.

Ecole d’architecture de la ville et des territories, Marne-la-vallée

De mars 1994 à octobre 1994 : étude de définition avec 3 équipes : Christian de Portzamparc, Atelier Bernard Kohn et Bernard Tschumi Architectes avec Yves Dessuant (Programme S.A.)

Décembre 1994 : Projet lauréat.

Réalisation : avril 1998 à juillet 1999

Le projet est prévu en 2 phases :

Phase 1 pour 500 étudiants,

Phase 2 pour 700 étudiants permettant d'atteindre 1200 étudiants à terme.

Surfaces : 13 765 m2 utiles dont 7748 m2 en 1ère phase.

Il s’agit de transformer ponctuellement l’école en favorisant les usages collectifs et les instances de partage, tout en ayant un regard critique sur la forme et les différents espaces générés. La conception de l’école part de la thèse qu’il y a des «bâtiments-générateurs» d’évènements. De telles structures sont souvent des condensateurs de la ville. Par leurs programmes et leur qualités spatiales, ils accélèrent ou intensifient une transformation culturelle et sociale déjà en cours.

Bernard Tschumi Architects

Pour accompagner la célébration de son 20e anniversaire, nous souhaitons explorer le potentiel de ce «bâtiment-générateur» en proposant une «Phase 2 alternative», qui consisterait non pas à agrandir le bâtiment -comme le voulait le projet original-, mais à intensifier ses multiples usages collectifs par le biais d’interventions ponctuelles dans ses «espaces collectifs» intérieurs et extérieurs.


Nous proposons de définir un plan, une stratégie commune à tout le groupe d’étudiants, qui sera discuté, débatu, et vise à réactualiser la condition de l’école, en accord avec son propos initial, grâce à une famille d’interventions stratégiques et de dispositifs capables «d’accélérer ou d’intensifier les transformations culturelles et sociales en cours», comme l’imaginait l’auteur du bâtiment.